Cette décision intervient en application des mesures annoncées par le président provisoire, Moncef Marzouki, lors de sa dernière visite en Algérie, et des propositions formulées par la délégation tunisienne lors de la réunion du groupe de travail chargé de la révision de l’accord d’établissement conclu les 11 et 12 avril 2012.

L’ambassadeur de Tunisie à Alger, Mohamed Najib Hachana, avait affirmé que « les quatre libertés » à savoir le droit de circulation, au travail, à la résidence et à la propriété « sont énoncées dans l’accord d’établissement de 1963 ».

Le tourisme dit résidentiel qui avait connu son âge d’or en Espagne durant les années 80 et 90 et depuis quelques années au Maroc serait-il  le nouveau  cheval de bataille pour ralancer le tourisme et l’economie tunisienne ?

Après avoir allégé les modalités d’accès à la propriété pour les étrangers en supprimant les autorisations d’achat de biens immobiliers dans les zones touristiques, la Tunisie vient d’accorder de nouveaux avantages fiscaux à ce nouveau genre de touristes « permanents».

Jusqu’ici les Algériens utilisaient des prête noms pour acquérir des biens immobiliers en Tunisie. Idem pour les libyens.

Les répercussions sur ce nouveau créneau ne vont certes pas se faire attendre, autant que la hausse des prix du m2 dans le pays.

1001 Tunisie

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