Ciné Social est la première édition d’un rendez-vous de cinéma documentaire annuel organisé par la Fondation Rosa Luxemburg www.rosaluxna.org et ses partenaires. Dédié aux films tournant autour de thématiques sociales, le festival se tient du 22 au 26 mai au Ciné Madart, avec des “side events” dans quelques lieux du grand Tunis et des régions de l’intérieur.
Le festival réunit les films engagés et à thème avec leur public grâce aux projections et aux débats et se veut une fenêtre ouverte sur les causes et les préoccupations de la Tunisie post-révolution. Il se positionne comme une plateforme de réflexion et de débat entre les acteurs de la société civile, les politiques et le grand public.
Le cinéma est l’outil imparable pour le plaidoyer et la conscientisation sur les causes et les enjeux du contexte tunisien actuel. Dans un contexte marqué par d’imminentes élections, les acteurs politiques devront prendre position sur les grandes questions socio-économiques du pays et être à l’écoute de la société civile. L’image aura le plus grand impact sur la perception des tunisiens de l’avenir de leur pays.
C’est précisément dans ce contexte particulier qu’il est important de donner de la visibilité aux messages portés par les acteurs sociaux. C’est donc à travers le cinéma que Rosa Luxemburg rassemble ses partenaires et ouvre une plateforme d’expressions et d’échanges importantes..
Programme du festival Ciné social:
22 mai: Soirée d’ouverture avec le documentaire « #Manich_Msamah Generation » (66’) de Nawaat
23 mai: « L’agro-écologie dans l’oasis de Chenini » de Sonia Ben Messaoud et Laetitia Martin (37’) et « Couscous: Les Graines De La Dignité » (60’) de Habib Ayeb
24 mai: « Deportato » (30’) de Hammadi Lessoued (FTDES et Nawaat), « Municipales » (41’) de Youssef Asswad et « Tout va bien Lella ?! » (33’) de Rabeb Mbarki
25 mai: « Voices of Kasserine » (58’) de Olfa Lamloum et Michel Tabet (International Alert)
26 mai: Soirée de clôture avec « Révolte du bassin minier et justice transitionnelle » de Callum Francis Hugh (Amnesty International) et « Majadhib » (71’) de Chiraz Bouzidi